Entre mystique et légende


Une exclusivité sur le site
  
Nous avons prospecté la région pour retrouver
la véritable légende du dragon couchois !




Le terrible dragon couchois
une légende à "Vivre"




      A mi-chemin entre Autun et Chalon-sur-Saône, et, à quelques kilomètres du Creusot, au cœur des vignobles tranquilles de Bourgogne, une petite bourgade aux allures médiévales (voir ci- dessous) entre régulièrement en ébullition... Habituellement calme, le bourg qui traverse l'histoire depuis la nuit des temps, entre véritablement en transe à l'occasion des "Fêtes de la Vivre"...

      COUCHES est effectivement à la croisée des chemins en ces lieux énigmatiques où survivent les légendes les plus obscures… Tous les vingt ans, depuis 1888 les hommes perpétuent l'histoire où un monstre épouvantable sévissait en semant la terreur et la désolation. D'aucun de dire que l'Histoire est devenue Légende mais, la précision des faits et des souvenirs mêlent l'égarement à la réalité...

      Alors, y a-t-il exagération ? Qui était vraiment cette "Vivre" monstrueuse ? Quelle est alors cette histoire ? Le mystère qui entoure la légende de la Vivre (ce nom donné au monstre antique) est d'avantage qu'une petite annale régionale. Nous souhaitons vous présenter la légende du véritable monstre couchois. Nous souhaitons vous présenter la Légende de la Vivre, mais, pour commencer, présentons les lieux...






Couches à "Vivre" en Histoire et en Légende...




COUCHES et ses environs. COUCHES une cité réputée par la voix de l'histoire pour abriter le magnifique château de
Marguerite de Bourgogne et également la Vivre. Alors, voici un château
à"Vivre" (en histoires et en légendes).

Passez le curseur de la souris sur la photographie pour découvrir le château de COUCHES dans sa région.






      COUCHES, bourgade à Vivre, Couches, utile mais château austère...
Sur la route de Chalon sur Saône, et, à quelques distances des Monts noirs du Morvan, le sévère château de Marguerite de Bourgogne est "hardiment" accroché aux rochers. La haute et prestigieuse bâtisse, fortifiée à excès, domine ostensiblement le paysage. Les jours de brume, devant la ligne rigide qui découpe le paysage, dans les vapeurs nocturnes, on devine toutes les histoires légendaires rattachées au château... L'horizon couchois est celui du château... Il faut au moins cette forteresse pour vivre ici, en sécurité. La Reine de France, épouse de Louis X le Hutin, y aurait fini ses jours, recueillie par sa famille, dans le plus grand secret...



Louis X le Hutin

Louis X le Hutin, et, le château de Couches dans les brumes nocturnes...




      Place forte au XI ième siècle, devenue solide forteresse au XII ième après moult aménagements et agrandissements, la battisse de Marguerite de Bourgogne est depuis longtemps un modèle des nécessités de se protéger par tous les moyens en dominant. (Se protéger de quoi, des dragons ?) La question est posée...

      Outre les constructions ostentatoires (les tours crénelées, le pont-levis, les vestiges de son enceinte), rien ne révèle le formidable équipement défensif constitué d'un incroyable réseau insoupçonnable de souterrains hautement stratégique (*). L'histoire raconte que seuls ces lieux inextricables pouvaient être parcourus des magiciens, tant le dédale était enchevêtré. "Dragon s'y perdrait" relate d'ailleurs un manuscrit... Au cœur de la construction, le donjon du XII ième siècle est un édifice carré qui abrite des tapisseries d'Aubusson et des collections d'armes. La Chapelle du XV ième siècle conserve ses statues et retables d'époques. Une porte monumentale parfaitement conservée raccorde la cour haute de la cour basse.

      Alors, comment en pareille forteresse, la Vivre a-t-elle eu l'audace de défier les hommes ?




(*) Les souterrains hautement stratégiques.
Quittant le château grâce au formidable équipement défensif des réseaux souterrains, l'histoire révèle qu'un magicien aurait libéré les populations couchoises de l'emprise maléfique de la Vivre.
(Voir plus loin dans l'exposé).












Alors, si vous le voulez bien, ...


remontons l'histoire et vivons la légende.


Vivons la légende, vivons notre légende

La légende de la Vivre

Voici notre véritable légende de la Vivre !





Passez le curseur de la souris sur l'image pour voir La Légende de la Vivre.


En terres noires de Manginite, près du château d'ambre, Yoata le magicien tient à
la main une flûte magique et cherche le moyen de vaincre la Vivre de Couches, ce
célèbre dragon tueur de chevaliers, connu par la voix histoirique des légendes...

Le décors est planté, voici donc...
Voici donc... La...






Histoire vraie, évidemment révisée, par l'équipe éditoriale de LaBaJ (=La Boutique à Jacques)





Et si ces légendes étaient finalement celles qui nourrissaient les livres ?









      Dans nos campagnes autour du Creusot, des légendes tenaces et obscures survivent et alimentent des traditions qui regroupent jusqu'à 50.000 personnes tous les vingt ans lors de fêtes populaires où des monstres bien réels font encore peur aux anciens. Les avertissements empruntés aux croyances de la région sont si persévérants qu'ils nécessitent des reconstitutions. En Bourgogne du sud, dans les livres anciens, et particulièrement dans les dictionnaires zoologiques des éditions royales, on découvre les descriptions anatomiques détaillées de ces dragons. On note aussi ces récits historiques meurtriers, (racontés à l'origine de bouche à oreille), où les populations ont guerroyé contre les "Vivres "ou "Vouivres".
Pourquoi le dictionnaire ''La littres", par exemple, donne cette définition maléfique à la ''Vivre'' la désignant alors de serpent tortueux... Oui, bête maléfique et tortueuse, la vivre est une bête apocalyptique ayant des caractères de serpent et de monstre. Elle dévore les enfants, affole les populations et sème partout la terreur. Mille ouvrages royaux ne seraient pas suffisants pour compter les méfaits innombrables de ces dragons couchois !




De vieux livres racontent les
"Vivres "ou "Vouivres"...


De vieux livres légendaires...


      Dans les livres les plus anciens (tel ce vieux dictionnaire, Le Buffon illustré des Editions Royales) les mythes existent, et, les légendes des dragons ont été consignées... Sans doute, quelques réalités historiques attestent que des évènements surprenants (entourés d'un grand mystère) existaient autour des propriétés fortifiées... Tel est au moins le cas des contrées couchoises, et, ici, le mythe rejoint la réalité.




Le Buffon illustré des Editions Royales présente la Vivre couchoise





Passez le curseur de la souris sur l'image pour voir le dragon.



En recherchant dans les vieux livres, oui, nous avons retrouvé
la description du dragon couchois qui aurait décimé
dès 1328 les populations de la région...



L'ouvrage raconte qu'un preux chevalier du nom
d'Enguerrand de Valandray aurait
défié l'animal couchois...




La naissance d'une légende...

Passez la souris sur le vieux livre légendaire pour regarder l'image historique de la légende couchoise.

Animal chimérique qui se nourrit que de plantes vénéneuses, monstre né de
l'alliance d'espèces malsaines et souilleuses, le dragon couchois est
mentionné dans les livres anciens. Images et objets
de cultes attestent des croyances antiques.




Regarder : le dictionnaire des éditions royales    



      COUCHES, un village chargé d'histoire.

      Dans un chef lieux de canton (très tranquille) qui s'étire sur plus de deux kilomètres, vivent 1468 habitants. Parmi les menhirs, les tours, la maison des templiers, le prieuré Saint Georges, et, à l'aplomb du célèbre château de Marguerite de Bourgogne (voir ci-dessous), demeurent, là, les gardiens très vivants des histoires vraies et incroyables...





Passez le curseur de la souris sur l'image pour voir la légende du dragon.


La légende de la vivre que nous allons vous conter explique comment
le dragon couchois aurait été envoûté puis conduit au bûcher par les
sons mystérieux de la flûte d'un étrange magicien sacrifié...




COUCHES 2008, la légende du dragon couchois.
Ou,... "belles histoires" deviennent légendes à "Vivre"...








Le texte ci-dessous présenté est la retranscription exacte
du paragraphe publié dans le Buffon Populaire Illustré.


      Cet animal symbolique créé par l'imagination des poètes orientaux, a donné lieu aux contes les plus extravagants; d'après eux, le Dragon (Lacépède couchois orientalis) habite par tout la terre, mais, si tous sont d'accord pour affirmer son existence, il n'en est pas de même pour sa description, car il est décrit tantôt comme un animal à la figure humaine, avec un beau visage, et qui se nourrit que de plantes vénéneuses; tantôt comme une chimère impure, mélange d'espèces malsaines et souilleuses. On le représente alors ayant la figure d'un cochon, le corps mince, le bec fort, les dents de sanglier avec ses yeux aussi brillants qu'une pierre précieuse. Tantôt le dragon est documenté comme un volatile ornithophage, moitié aigle et moitié louve, (et qui est engendré par l'accouplement de ces deux animaux); tantôt comme un serpent ennemi de l'éléphant qui est alors capable d'infecter, par son haleine, une grande partie de l'atmosphère. Le Dragon, (dit Lacépède), consacré par la religion des premiers peuples, est devenu l'objet de leur mythologie. Ministre des volontés des dieux, gardien de leurs trésors, servant leur amour et leur haine, soumis au pouvoir des enchanteurs, vaincu par les demi-dieux des temps antiques, entrant même dans les allégories des livres saints, le dragon a été chanté par les premiers poètes. Il est alors représenté avec toutes les couleurs qui pouvaient en embellir l'image. Devenu l'emblème des actions éclatantes des anciens chevaliers (Couches Lacépède second livre), il a vivifié la poésie moderne ainsi qu'il a animé l'ancienne. Proclamé par la voix sévère de l'histoire, partout décrit, partout célébré, partout redouté, montré sous toutes ces formes, toujours revêtu de la plus grande puissance, immolant ses victimes par son regard, se transportant au milieu des nues avec la rapidité de l'éclair, frappant comme la foudre, dissipant l'obscurité des nuits par l'éclat de ses yeux étincelants, réunissant l'agilité de l'aigle, la force du lion, la grandeur du serpent géant, présentant même quelquefois une figure humaine, doué d'une intelligence, presque divine, le Draco couchois orientalis s'est trouvé partout, hors dans la nature.





Au château de Couches, les chevaliers se succèdent...


Les chevaliers au château de Couches...

Passez la souri sur l'image pour découvrir le dragon.

Au château de Couches, les combats se
succèdent pour tuer le terrible dragon...
En vain... La "Vivre" semble immortelle !




Lacépède Draco couchois orientalis juvénile
(spécimen observé en 1328)







Draco couchois orientalis juvénile
sacrifié la même année



      En 1328, au terme d'un hiver particulièrement froid, la population couchoise observa pour la première fois un terrible animal. Les chevaliers eurent beau essayer de lutter contre l'animal adulte, (en combats serrés ou en organisant des battues), les tentatives historiques furent vaines... Les chevaliers ont tous échoué. A chaque combat : Draco orientalis adulte trouve une nouvelle parade et dévore ses assaillants.








Au Château de Couches, le soir venu Draco impose sa loi.
Draco couchois orientalis adulte (spécimen observé en 1329).






Autre espèce citée dans l'histoire : Lacépède Draco gigantea buolina
S
pécimen adulte remarqué au château de Couches en 1331 et 1332
.







Les dragons couchois
étaient-ils cracheurs d'ambre ?

Nous avons retrouvé un document relatif
à la légende de la Vivre couchoise...





Regarder : le document historique    

      Quel est littéralement le texte du dit document :

      "En terres noires de Manginite vit le lacépède Darkorientalis qui du feu nourrit chaleur putride par tout la terre. Lui, roule boules malsaines et souilleuses à combatoyer. N'importe histrions et baladins couchent mort dépiécés consumés aux enfers."
"Grundwald Corps le Hardy."


      Le fondement et l'intention du manuscrit restent pour les historiens encore hypothétiques, mais, dans cet avis, rédigé au sang de chevalier, on explique que dans les contrées noires de Manginite (les terres que nous connaissons aujourd'hui êtres celles du bassin houiller du Creusot), vit un dragon.

      Le lacépède Draco (ou Darko orientalis) produit ses flammes et tourne ses boules d'or liquéfié (*) comme autant de pièges qu'il crache aux passants. Quiconque reçoit la venaison brûlante carbonise dans d'atroces souffrances. Le Dragon Darko (ou Draco) est consigné à maintes reprises dans la littérature historiques sous le règne de Philippe le Hardy.

      (*) Note : En analysant les manuscrits historiques du Château de Couches, on apprend que l'or brûlant en question serait une pâte collante extraite des terres noires qui pourrait correspondre à de l'ambre. D'ailleurs, le château dessiné à la plume sur le manuscrit authentifié par le pentagramme d'or, le château des terres noires de Manginite, aurait été fondé sur un gisement d'ambre... L'emplacement du château d'ambre, (où existe de nos jours une "Boutique") a été gardé secret à travers l'histoire avec la confusion du dragon couchois...





Voici les perles d'ambres qu'il est loisible de trouver dans la région.
Les petites billes noires millimétriques, correspondent à des
ambres nichés dans des charbons ligneux.





Un gisement d'ambre, un dragon, un château, des recits historiques...
Tout est là pour faire vivre une véritable histoire de "Vivre" 









Quittant le château par le formidable équipement défensif du réseau souterrain
un magicien doit libérer les populations couchoises
de l'emprise maléfique de la Vivre...






Yoata le magicien libérateur de Couches




En terres noires de Manginite, arrivé au château, Yoata le magicien a reçu
du gardien une flûte magique en bois d'ambre. La musique de l'instrument
pourrait vaincre la Vivre de Couches pour autant que la bête réapparaisse.






      Au château de Couches, à cette époque, après d'autres périodes froides, la bête apocalyptique, aux innombrables malfaisances, poursuivait ses méfaits. Semant la terreur, le malheur et surtout la mort, la présence du dragon (toujours invisible) nimbait les contrées d'une résignation morbide, inéluctable. "Celui qui voit la bête disparaît et succombe. La simple vue de la bête ôte le souffle de vie". Invisible aux vivants, et, dernière vision des mourants, le monstre défiait les hommes et les bêtes... Les jeunes bergères, les enfants et les chiens de garde disparaissaient inexorablement dès lors qu'ils s'éloignaient à quelques distances des monts fortifiés du château couchois pour aller chercher l'eau à la rivière.

      Assujetties au château les populations disparaissaient également la nuit dans des esclandres de frayeurs accompagnées de boules de feu. Et, au petit matin, les sphères étincelantes ayant frappé, il ne restait au sol que ces odeurs putrides et ces quelques altérations carbonés parfois mêlés aux portions fondus métalliques de ce que l'on devinait être les restes d'une amure de chevalier. Tous savaient d'instinct que la bête était venue chercher son dû.

      Tout semblait perdu, lorsque sur les conseils d'un sage - dont on dit qu'il se nommait Sapience - (synonyme de : discernement, jugement) on fit appel au verdict de Yoata.
Yoata était magicien, magicien seulement, mais, bon observateur. L'homme, sage, avait surtout remarqué les déplacements nocturnes de l'animal en direction des terres noires. Aussi, en découvrant les lieux de la demeure du dragon, il espérait découvrir un moyen d'entraver les déplacements du monstre.

      Aussi vite sollicité, aussi vite parti. Ce jour de grand vent (qui masque les odeurs d'une proie clairvoyante et peureuse) était profitable, et, Yoata se lança sur les chemins de Couches en direction des terres noires de Manginite.

      En ces lieux assez proches survivaient au château d'ambre des personnes sans menace apparente. Face au vent Yoata avança face à sa mort. Le grand vent amena la pluie, drue d'abord, puis, torrentielle, laquelle, sur les terres de Manginite, libéra la matière jaune crachée par le dragon durant ses attaques. Yoata se pencha pour ramasser l'étrange miel jaune collé à une portion de bois noir pétrifié par le temps. La main fixée au bois fossile, une musique guida Yoata vers le lac et le Château d'ambre du Duc de Mangin. Là, à la cabane faite du même bois noir pétrifié, sur le bord du lac, le gardien artisan attendait...

      L'homme tenait dans son pentagramme d'or une pierre d'ambre allumée d'une petite flamme régulière malgré la pluie et le déluge. L'homme, sans dire mot, s'exprimait en musique : "Où les chevaliers ont échoué, ambre passera et par la lumière purification vera belle musique car en bois d'ambre l'objet sera".
La phrase mystique chantée à Yoata signifiait qu'une flûte en bois d'ambre serait suffisante pour envoûter le dragon qui se laisserait alors conduire au bûcher. Avant d'ajouter : "Le bûcher de bois d'ambre allumé par une flamme que voilà pour Draco sera son trépas".




Venu en terres noires de Manginite, au château d'ambre, Yoata a découvert
sur le pentagramme d'or, la flûte magique pour envoûter le dragon
et la flamme de pierre fossile pour allumer le bûcher...







De retour au château de Couches
la Vivre est lancée au bûcher...






La mort de la Vivre et la naissance des chevaliers de l'ambre...


      De retour au Château de Couches, la Vivre est lancée dans le bûcher. Et, sans doute pour cacher l'origine des objets magiques et l'existence du château d'ambre, le malheureux Yoata, pour tout remerciement, est lancé dans les flammes pour accompagner le trépas du dragon.

      Enfin libéré de la Vivre ! Devant pareille surprise, on raconte que les chevaliers des terres noires de Manginite associés aux chevaliers couchois auraient fondé un ordre à la gloire du dragon ainsi disparu par la toute-puissance de l'ambre. Adorateur de cette pierre magique qui brûle, les chevaliers des terres noires auraient alors choisi Draco sous son apparence volante. Draco les ailes largement déployées, pour rappeler que l'animal ne craignait rien, pas même les pluies diluviennes...

      Terrassé par la puissance de l'ambre, la légende de la mort du dragon de Couches est à l'origine de l'ordre des Chevaliers teutons, lesquels sont devenus les dépositaires, en Bourgogne, de cette pierre surnaturelle... Brûlé ou pas, ne dit-on pas que l'ambre a des vertus magiques ?

      Depuis cette époque lointaine, les chevaliers de l'ordre teutonique (qui ont administré la région de Bourgogne, voir ci-dessous) ont désigné l'ambre par le nom : "echter Bernstein" qui signifie littéralement : véritable pierre qui brûle.

-=-=-=-=-=-





      Et, pour finir l'histoire, on raconte aussi que l'ouvrier de la ghilde qui créa la flûte magique (qui n'a pas partagé le funeste destin de Yoata...); -artisan représenté sur le manuscrit, voir ci-dessous, grand Initiateur de l'Ordre de Saint Jacques-, oui, cet artisan serait l'ancêtre éloigné de Jacques de Mangin...





La toute première Ghilde de Manginite, document d'époque.



      D'aucun de dire, pour finir, que l'actuelle Boutique à Jacques, au Creusot, serait sis à l'endroit de la Ghilde où Yoata trouva sa flûte d'ambre...

      Mais, cher lecteur, n'y voyez là qu'une exagération sans doute légendaire, à moins, ... que ce ne soit qu'un conte "fait main".










Les chevaliers de l'ambre d'ici et d'ailleurs...

L'ordre Teutonique au château de Malbork est né de la thésaurisation de l'ambre. En 1237, ayant absorbé les chevaliers Porte-Glaive, l'ordre des chevaliers Teutons propagea rapidement le culte de l'ambre à travers de vastes contrées pour constituer un état puissant avec Marienbourg comme capitale. La guilde, (gilde ou ghilde) était la disposition de base de ces chevaliers qui regroupaient marchands d'ambre, ouvriers et artistes par un serment fort d'entraide mutuelle. La Boutique à Jacques s'inscrit aujourd'hui pleinement dans cette idée d'une entraide mutuelle forte entre les créateurs d'art.
Alors filiation directe ? Et, si jacques Mangin était le prescripteur de toutes les ghildes ?
Enquête à suivre !
...

      Trève d'humour, le patrimoine historique de la région du Creusot est riche de l'empreinte des Seigneurs de l'ambre... Et, voici ci-dessous, une preuve avérée sur le patrimoine historique bâti, à quelques distances de La Boutique... Démonstration est donc faite que légendes et réalités historiques se mêlent intimement ! La région du Creusot est surtout marquée par les légendes et l'empreinte historique des chevaliers. Alors, si vous doutiez encore que les belles histoires se vivent et se racontent chez Jacques Mangin, au Creusot, passez donc à la Boutique... Nous vous accueillerons chaleureusement.



La marque SUPERBE des chevaliers de l'ambre sur le patrimoine bâti historique de la région...
Quant documents et légendes se mêlent pour construire de belles histoires à "Vivre".









Couches 2008
Fêtes de la Vivre


Depuis 1888 les couchois s'éfforcent de recréer la légende.
Et, tous les vingt ans avec de granioses fêtes folkloriques
"belles histoires" deviennent légendes à "Vivre"...


Regarder L'affiche officille de la Vivre

Regarder Le poster de la Vivre 2008





Regarder le poster : La vraie légende de la Vivre





Regarder le poster : La Vivre est au château de Couches




Couches 2008 / Fêtes de la Vivre
Demandez le programme





Couches 2008, Fêtes de la Vivre. Demandez le programme : Célébration du mariage de Philippe le Hardy et de Marguerite de Flandre. Mises en scènes et présentation de tableaux historiques par des troupes théâtrales. Cortèges et défilés... Animations festives variées dans le Bourg : marché médiéval, saynètes théâtrales, scènes historiques et Farandoles, processions et défilés avec la Vivre parmi les chars et les groupes musicaux. Sur place presse écrite, radio et télévision régionale. Affiches, affichettes, et bulletin de liaison en préparation.


Note : Cette page n'est pas
le site officiel de la manifestation
 Couches Fêtes de la Vivre 2008
Cette page Internet est juste une
expression qui présente
la manifestation
culturelle...





Cette présentation des
fêtes de la Vivre 2008
est réalisée par


Une publication réalisée par l'ABC

Animation Bourgogne Couches

Une présentation très
Une publication réalisée par l'ABC





La BOUTIQUE à JACQUES
Jacques MANGIN
84, rue Maréchal Foch
71200 Le Creusot

Téléphone : 03 85 56 19 06
Contact : laboutiqueajacques@wanadoo.fr
Contact : eric.ambre.jaune@hotmail.fr