Ricardo
Speranza (Arpajon
91)
Bijoux en maillechort
et laiton. Pièces uniques, réalisations particulières.
Colliers, pendentifs, bracelets, avec ou sans pierre, montres.
Le travail original de
Ricardo Speranza révèle les formes symétriques
et asymétriques où la courbe de la nuque dénudée
ou celle de la main viendra parfaire celle du bijou...
La bague épouse
le doigt, le bracelet dessine son arabesque pour serrer le
poignet, le collier présente sa parure fluide ouverte
sur la coté.
Ricardo est uruguayen,
et, on retrouve alors dans le travail du créateur toute
l'inspiration de la joaillerie et des arts locaux les plus
efficaces. Mais, pas seulement. En effet, l'artiste utilise
idéalement les allégoriques des arts les plus
efficients (évocation égyptienne, forme maya
ou inca, les lignes visent le gothique, et, conduisent aux
richesses médiévales).
Le laiton jaune (utilisé
comme soudure) est fondu puis martelé pour sertir les
formes dont certaines rappellent les blasons (en bois) moyenâgeux.
L'argent est également martelé et mêlé
au maillechort pour tenir le noyau central de l'uvre
d'art. C'est efficace et, c'est superbe ! Oui, c'est
imposant, et, à la fois, délicat ! Portés,
les bijoux deviennent "fins".
Installé depuis
plus de vingt ans en France, Ricardo Speranza ne réalise
que des pièces uniques. Sans modèle fixe, les
uvres sont, à proprement parler, des compositions
non reproductibles. Chaque bijou est particulier, singulier
pour ses nombreux détails. On notera la difficulté
de sertir une fragile montre dans un bracelet végétal
lourd, forgé à l'enclume, comme quoi certains
hommes ont vraiment du talent!
Des
bijoux d'art en "monnaie" et en "argent"
qui se portent mieux que l'or !
Positionné
dans le créneau haut de gamme du bijou d'art, la parure
est unisexe...
Dans
des métaux nobles et, avec un graphisme très
travaillé, les pierres fines
sont piégées par la griffe du créateur.
On
appréciera le soin apporté aux détails
et aux finitions...
La
nacre fine, écrin fragile porté en contraste
sur le bijou solide...
L'image
ne le montre pas parfaitement, mais, cette
nacre abalone type "cobalt" (très
rare) porte en
son centre une forme circulaire qui, si elle est une pupille,
donne alors un effet terriblement efficace
à cet il d'Osiris. Toutankhamon n'avait pas bijou
plus symbolique !
Note
relative à la nacre abalone :
L'ormeau (ou ormet, qui signifie en latin : oreille de
mer) est un mollusque marin comestible. Dans la famille zoologique
certains représentants sont surtout réputés
pour leur coquille et la belle nacre bleue type cobalt. L'abalone,
par exemple, qui ressemble à une huître perlière,
est un ormeau, qui, jadis, était très prisé
en joaillerie...
Une pierre fine très appréciée dans les
arts historiques anciens, la turquoise...
Le
bois en blason (ou bouclier) est associé au bijou donnant
ainsi une évocation médiévale
Travaillée en broches, la thématique de l'il
égyptien, et... alors, une
connotation efficace des bijoux archéologiques.
Autres inspirations "égyptiennes", les parures
de buste
De nombreux modèles (tous uniques) sont
exposés dans La Boutique à Jacques. C'est
à voir absolument...
Regarder : les
parures de buste
"Balades
historiques" aux richesses gaéliques
Des bijoux uniques, jamais plaqués, toujours massifs.
Avec ces formes oghamiques (des sortes d'avertissements mystiques
portés
en parures ostentatoires) on croirait presque retrouver le
trésor d'un roi celte...
Tenir de tels bijoux en mains est un réel plaisir...
Avec ces parures et ornements, je suis plus
riche qu'un Roi en Château de Mangin !
Regarder
: le
trésor de ce roi celte