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Les Fêtes de la Vivre
Couches 2008

La comédie
musicale

Infographie - Internet
Eric GEIRNAERT

Présentation Infographie Eric GEIRNAERT



Michel Mussy
La comédie musicale
"Vivre à Mort"





"L'histoire est du vrai qui se déforme,...
la légende du faux qui s'incarne."


Jean Cocteau








Passez la souris sur l'image pour voir la légende...








      Tel un slogan : "Vivre à Mort" !!! La légende de La Vivre se perpétue à travers le temps et l'Histoire. Qui n'a pas encore entendu les exploits du Sage Sapience et du Magicien Yoata ? Le narrateur (et quel narrateur !!!) Michel Mussy (le professeur d'Education Musicale du collège Louis Pergaud de Couches) a donné musiques et paroles aux mémoires collectives.

      Monsieur Mussy a ajouté ses personnages et donné ses interprétations historiques au très grand mystère régional. L'histoire se situe dans le village de Couches, qui, en 1328, était divisé en deux : Couches en Duché, et, Couches en Royauté. La comédie musicale donne ses tableaux historiques, superbes, en tenant compte de l'histoire de France et de l'histoire de Bourgogne (Couches). D'après l'histoire de France Marguerite de Bourgogne serait morte en 1315 à la forteresse de Château Gaillard, mais certains historiens disent que sa mort ne serait que supercherie (pouvait-on tuer une reine de France) et qu'elle se serait réfugiée à Couches en tant que prisonnière libre et y serait morte en 1333. Cinq ans auparavant, en 1328, Marguerite de Bourgogne a sans doute contribué à la légende de la Vivre couchoise. Certes, des questions restent en suspend, des interrogations existent... Mais, l'Histoire n'est-elle pas du Vrai qui se déforme, et, la Légende du Faux qui s'incarne ? (Pour reprendre une citation de Jean Cocteau)... Le tout donne lieu à un spectacle remarquable en deux actes.

      La comédie musicale "Vivre à Mort" nous transporte durant deux heures... Les tableaux sont illuminés par des éclairages colorés étonnants. Danseurs, choristes et figurants se mêlent dans une mise en scène théâtrale bien pensée. Chants médiévaux, vies paysannes et rivalités de mages sont inspirés par Michel Mussy... Quarante deux élèves volontaires (des classes de 4 et 3e) ont travaillé trois heures par semaines (durant plus de trente semaines) pour produire ce qui reste un évènement ! Quinze solistes (chant et théâtre) se succèdent... Le spectacle est le bouquet de lancement des "Fêtes de La Vivre" organisées à Couches en août 2008. La dernière représentation de la comédie musicale sera donnée au parvis de la Mairie de Couches le dimanche 24 août 2008 à 12 h 30.

      Pour présenter la manifestation au plus large public nous vous présentons cette page Internet et, nous proposons également un concours de dessins et de photographies...

      De bonnes fêtes de la Vivre 2008 à vous tous !

 














"Bonjour !"



"Bonjour à vous tous"...


"Bonjour à vous tous. Voici la légende, vraie, de la rencontre historique de la Vivre, cette bête faramine...
Voici l'histoire couchoise à l'origine de notre comédie musicale : Vivre à Mort
".


...Au micro, Monsieur Michel Mussy, inventeur
de rêves, et, créateur de talents !



      Michel Mussy : "Nous sommes en 1328, l'hiver a été rude dans toute la Bourgogne et particulièrement dans la région de Couches. Ce petit village vit des heures difficiles... Dépendant à la fois de la couronne royale et du Duché de Bourgogne, une rivalité s'est établie entre ses habitants. La foi en Dieu se mêle aux croyances païennes et aux sortilèges."







Michel Mussy : "Nous sommes en 1328, l'hiver a été rude à Couches"...

Passez la souris sur l'image pour 'remonter' le temps...




      Michel Mussy : "Chacun rejette sur les autres les malheurs des uns. Les vignes sont abandonnées, les terres en friche et le bétail dépérit faute de foin. Pourtant tous espèrent encore une éclaircie tout en redoutant de nouvelles épreuves. Le décor est planté et, nous allons vous présenter l'histoire vraie de la Légende de la Vivre. Nous remercions tous les partenaires ainsi que tous ceux qui ont aimablement collaboré à ce spectacle."

      Michel Mussy : "La présentation Internet que vous regardez (version romancée) a été réalisée par Eric Geirnaert... Les photographies présentées dans ce document sont évidemment disponibles en haute résolution. Mais, trêve de technique, que le spectacle commence"...








Voici une histoire, voici notre légende...
pour Vivre et re-Vivre la comédie
musicale
: "Vivre à Mort".













      Couches 1328... L'hiver a été dur, les récoltes ont été insuffisantes, le bétail n'a plus de foin et tous redoutent de ne plus pouvoir simplement survivre. Dans le petit village bourguignon, chacun rejette sur l'autre les raisons de ses malheurs. L'hostilité latente est d'autant plus exacerbée que Couches en Duché est bien distincte de Couches en Royauté. Une frontière autant physique que psychologique s'est bien dessinée...

      Malgré cette crainte, la vie continue et on entend les bruits des préparatifs des noces d'Ermeline, fille de Blanche, et de Baudoin, fils du Prévôt Arnaut. Le mariage est d'ailleurs célébré par le père Anthèlme...






Le mariage d'Ermeline et Baudoin...





Père Anthèlme célèbre le mariage d'Ermeline et Baudoin...












      Le mariage est célébré par le père Anthèlme... Mais la liesse est vite interrompue par les cris d'une femme. Elle arrive, haletante et épuisée, pour demander de l'aide auprès des couchois...















      "Ma fille a disparu ! Nous étions toutes deux à proximité des bois de la Creuse, aux Grands Breux plus exactement. Ma petite fille jouait près de la rivière de la Vielle et moi je ramassais des fagots quand tout à coup j'ai entendu un cri lugubre. Je me suis précipitée vers l'endroit où j'avais laissé ma fille jouer seule; et là, je n'ai retrouvé que sa poupée."







Oui, ... Ma fille a disparu !






Quoi ? Une disparition ?
Aux bois de la Creuse, aux
Grands Breux, près de la rivière de la Vielle...





Passez la souris sur l'image pour explorer la rivière couchoise...













      
A cette annonce le prévôt décide immédiatement de partir avec tout le village à la recherche de l'enfant, mais malheureusement en vain...

      Alors que tous les habitants sont sous le choc de cette disparition, Enguerrand de Valandray, envoyé dans le duché par le roi Charles IV, demande à parler au Prévôt et explique les raisons de sa venue.







Passez la souris sur l'image pour découvrir les gardes...











      
Enguerrand de Valandray
 : "Couches est un village bien particulier ! J'ai discuté il y a quelques instants avec des gardes à la tour Guerin qui m'ont informé qu'une partie de la ville dépendait du royaume mais que l'autre était toujours sous la protection du Duché de Bourgogne et donc d'Eudes IV. Cet état de fait ne peut rester ainsi, mais ma mission et donc la raison de ma venue est toute autre. Vous n'êtes pas sans savoir qu'en l'an 1314, le roi Philippe IV Le Bel a fait arrêter sa belle fille Marguerite de Bourgogne prise en flagrant délit d'adultère avec Philippe et Gautier d'Aunay."






Enguerrand de Valandray : "Couches est un village bien particulier !"







Le Prévôt Arnaut...












      Arnaut reste interloqué quelques instants mais signale au chevalier que Marguerite de Bourgogne a été punie pour son crime en étant enfermée à la forteresse de Château Gaillard où elle mourut l'année suivante. Les explications du prévôt ne satisfont pas Enguerrand : "Cela semble être la version officielle mais il se dit, que de part son rang de Reine de France et de Navarre par son mariage avec Louis X Le Hutin, on aurait fait croire en sa mort et qu'elle se serait réfugiée vers son frère le Duc de Bourgogne qui lui aurait demandé de vivre cachée au château de Couches".

      La réaction des villageois ne se fait pas attendre. Comment ce chevalier pouvait se douter d'une telle supercherie ? Arnaut ne voulant pas répondre, propose au chevalier de rencontrer Marie de Beauffremont, Dame de Couches et propriétaire du château.







Ermeline et Blanche...







Blanche, Le regard tourné vers l'histoire...







Marie de Beauffremont, Dame de Couches, amoureuse d'Enguerrand de Valandray.












      A la vue d'Enguerrand, Marie de Beauffremont se retourne et répond au preux chevalier d'une façon évasive et quelquefois insolente. Le chevalier, agacé par une telle attitude, demande des explications : "Comment, madame, osez-vous me parler ainsi ?" Marie de Beauffremont n'a pas d'autre solution que de se retourner et dévoiler son ancienne identité : "Messire, avant mon mariage je m'appelais Marie Brunel." Cette même Marie Brunel qu'Enguerrand avait tant aimé jadis et qu'il croyait morte depuis bien longtemps. La stupeur passée, il demande à comprendre les raisons d'un tel comportement. "Notre amour était impossible. Je n'étais qu'une roturière et vous un chevalier. Votre père vous avait promis à un bien meilleur mariage. Alors je me suis enfuie. Pardonnez-moi mon mensonge. J'ai erré de villages en villages et j'ai été recueillie ici, à Couches par Charles de Bauffremont qui, contre l'avis de beaucoup, m'a épousée. Et après son décès à la guerre, j'ai appris qu'il m'avait légué son château."

      Enguerrand ne voit alors plus aucun obstacle à vivre son amour, mais Marie l'en dissuade : "Vous faites partie de la Royauté et moi du Duché et les rivalités sont encore trop fortes. Cependant, je ne peux vous mentir une seconde fois, et si, comme je le crois, votre amour pour moi est aussi fort que jadis, promettez-moi de garder secret ce que je vais vous révéler. Par mon mariage, Marguerite de Bourgogne est devenue ma cousine et son frère Eude, le duc de Bourgogne, l'a bien envoyée au château et elle ne cesse de remercier le ciel de lui avoir permis de vivre encore, pour lui donner la possibilité d'expier ses fautes."

















Et, évidemment, Marguerite de Bourgogne...







Durant toute l'histoire, Marguerite de Bourgogne est réfugiée au Château de Couches...
Passez le curseur de la souris sur l'image pour découvrir le château de Couches













      Marguerite de Bourgogne est donc bien à Couches, et lors d'une de ses promenades, elle croise un personnage étrange, laid et difforme (Godomar) qui s'adresse à elle : "Ma reine, est-ce possible ? Est-ce bien vous ou bien suis-je encore trompé par ces diableries ?" Marguerite reste méfiante : "Mais qui es-tu ? Je ne te reconnais point !" L'homme se présente en tant que Godomar, son fidèle écuyer. Mais la reine reste sur ses gardes. "Quelle est cette supercherie ? Tu ne ressembles en rien à Godomar." A cette phrase, Godomar se sent rassuré: "Que je suis heureux de votre réponse car elle prouve que c'est bien vous et que vous n'avez pas succombé à vos supplices à Château-Gaillard. Je vous l'assure ma reine, je suis bien Godomar et si je ne ressemble plus à celui que vous avez connu, c'est que mon ami Gauthier et moi avons subi un sortilège d'une bien malveillante magicienne. Et je ne dois pas me plaindre car pour Gauthier le sort a été encore plus néfaste."

      Ces mots redonnent confiance à Marguerite mais les deux doivent partir en entendant des cris affolés de Baudoin...







De gauche à droite : Le sage Sapience, Malvina la villageoise pernicieuse, et, le mage Yoata...











      Le jeune marié a fait une découverte macabre. La petite fille a été retrouvée morte et atrocement mutilée. Tous recherchent le coupable. Malvina, une villageoise, semble penser que ses crimes ont été commis par un mage, qui a besoin de viscères pour ses expériences. Tous les regards se retournent alors vers Yoata qui vit à l'écart, à Epoigny plus exactement. Le prévôt demande qu'on lui amène sur le champ le mage : "Yoata, tu es ici car un crime horrible vient d'être commis, et plusieurs pensent que tu en es le coupable. Qu'as-tu à dire pour ta défense ?" Yoata est tout d'abord surpris, déstabilisé puis regarde droit dans les yeux tous les villageois : "Si je vis à l'écart du village, c'est pour être tranquille. Chacun sait que je suis un païen et que quelquefois je confectionne des potions. Plusieurs d'entre vous en ont d'ailleurs profité. N'est-ce pas Claude ? N'est-ce pas Louis ?... N'est-ce pas Arnaut ? Mais personne ne veut l'avouer car vous êtes soi-disant Chrétien. Alors quand on cherche un coupable, il est bien sûr plus aisé de se retourner vers celui qui est différent. Mais pourtant vous me connaissez tous bien, et toi Malvina mieux que quiconque. Vous savez que je ne suis pas le monstre que vous décrivez, même si j'aime vivre comme un fou !"

      L'arrivée du sage Sapience et sa déclaration va venir disculpé Yoata. "Pendant l'interrogatoire du mage, d'autres disparitions ont été signalées, et de chaque côté du village. Ce n'est plus une question de rivalité mais bien un nouveau grand malheur qui s'abat sur nous. "Il faut nous unir pour passer cette épreuve." Si l'innocence de Yoata ne fait plus aucun doute, Malvina reste néanmoins très hostile au mage à la grande surprise de celui-ci. Alors qu'ils restent seuls sur la place, Yoata s'adresse à Malvina : "Pourquoi tant de haine Malvina ? Ne t'ai-je pas recueillie ? Ne t'ai-je pas donné tous mes savoirs ?" La réponse de Malvina est sans ambiguïté "Certes, mais Couches est trop petit pour deux mages. Personne ne sait que je possède tes pouvoirs, et je veux que cela reste ainsi".
















Le chevalier Enguerrand de Valandray, souhaite vivre la passion de sa flamme.








Mais, avant, Vivre faramine doit mourir...





Toutes les nuits, ... Gauthier, ... devient...






Gauthier le jour, et, Vivre la nuit...

Visage grimé de blanc et noir voici Godomar, l'ancien écuyer de Marguerite de Bourgogne.
Godomar
est l'ami du pauvre Gauthier.
Tous les deux ont reçu mauvais sort...
Et, la
nuit, ... Gauthier, ... devient Vivre faramine...

Passez la souris sur l'image pour voir le vrai visage de la Vivre...













      Le retour des villageois interrompt cet échange. Enguerrand de Valandray a le visage inquiet : "Les deux autres enfants ont été retrouvés morts, du moins ce qu'il en restait. Mais ce qui m'inquiète le plus ce sont les empreintes découvertes à côté des corps. Des empreintes de pattes géantes. Et j'ai déjà vu ce genre d'empreintes ailleurs dans le royaume. Il n'y a aucun doute il s'agit d'un dragon ou d'une bête faramine." Sapience n'est pas étonné par cette révélation : "C'est ce que je redoutais, ces mêmes empreintes étaient présentes à côté du premier corps. Il faut traquer la bête, trouver sa tanière et tuer ce monstre, tuer cette Vivre. Et pour y arriver, il n'est plus question de division entre nous. Comme nous le dit le chevalier Enguerrand, la bête ne fait pas de distinction. C'est le problème de tous. Venez tous ! Nous devons préparer notre combat commun. Ce soir nous tuerons le monstre !"

      La découverte des empreintes de la Vivre n'a pas semé la panique dans le village, bien au contraire, elle a donné la possibilité à tous les habitants de s'unir et d'oublier leurs différents. A la tombée de la nuit on voit arriver des hommes et des femmes de La Varenne, d'Eguilly, de Chalencey, de La Creuse, des Courtaillards, d'Origny, de Combereau, de Montorge, de Montpatey, des Bertrands , du Château et de biens d'autres lieux encore. Le dragon représentant le démon, c'est au nom de Dieu et de sa puissance qu'ils partent au combat, confiants dans leur nouvelle union. Malheureusement, très peu d'entre eux ne vont revenir. Beaucoup sont morts brûlés ou dévorés. Les fourches et les flèches n'ont pas réussi à percer la carapace de la Vivre. Mais le chevalier Enguerrand refuse cette fatalité et réunit à nouveau les villageois : "Je vais tenter d'y aller seul. La dernière fois c'est le tapage de tout un groupe qui l'a alertée. Peut-être que par la ruse j'arriverai à la vaincre. Amenez-moi mon armure et mes armes."












      Apprenant le projet d'Enguerrand, Marie de Beauffremont se précipite à travers la foule : "Enguerrand, on vient de me prévenir que vous vouliez affronter seul la Vivre! Je vous en conjure, n'y allez pas." Le prévôt est très étonné de cette intervention : "Dame Marie, cela ne vous regarde en rien !" Marie n'a que faire des remarques d'Arnaut et elle s'adresse à nouveau à Enguerrand : "Je vous ai déjà perdu une fois, il y a bien longtemps. Je ne supporterai pas de vous perdre à nouveau." Arnaut reste interloqué : "Que voulez-vous dire ? Je n'ose comprendre! Je vous somme de vous expliquer. Messire Enguerrand doit nous sauver !" Le chevalier s'avance : "Prévôt, Dame Marie dit la vérité. Je ne savais pas qu'elle vivait à Couches; mais maintenant rien ne peut empêcher notre amour. Notre amour est trop grand !" Un silence pesant se fait fortement ressentir. Les visages des couchois retrouvent des traits d'inquiétude. C'est alors que Sapience, de sa voix posée, intervient : "Mes amis, rien ne sert d'envoyer à une mort certaine ce chevalier. La force n'a pas eu raison de l'animal, pas plus que la foi. La Vivre est d'une intelligence hors du commun et a su déjouer nos plans. C'est un animal fabuleux et à la magie il n'y a qu'un remède, la magie. Yoata si nous te craignons, c'est que connaissons tes pouvoirs et ils sont à l'origine de nos craintes. Mais l'heure maintenant est trop grave pour ces considérations. Acceptes-tu de nous aider ?"

      
Le mage regarde un instant autour de lui et dit : "Sapience, je sais le danger que nous fait courir à tous cet animal. Les risques sont trop importants." Le sage propose alors que les villageois assurent sa subsistance jusqu'à sa mort, de lui donner une pièce d'or par famille sauvée, de lui offrir chaque année un tonneau de leur meilleur vin. Après un long moment de réflexion, Yoata se confie : "Pour me proposer tant de bonté c'est vraiment que vous ne savez plus comment faire. J'accepte le défi. Vous devrez me procurer une corde solide. Vous construirez un four géant que vous alimenterez en bois pendant trois jours et trois nuits. Quand il sera chaud vous viendrez me chercher. Vous attacherez la corde à ma taille et le plus solide d'entre vous en tiendra l'autre extrémité. Je vais essayer d'attirer la Vivre jusqu'au four en la charmant des sons magiques de ma flûte. J'entrerai avec elle dans le foyer, mais ensuite, tirez sur la corde pour me sortir du feu et refermez la porte du four pour qu'elle périsse dans les flammes. Je redeviendrai alors votre mage."





Scène clef de la comédie musicale
la capture et la Mort de la Vivre...




La Mort de la Vivre, ... et, également, le sacrifice de Yoata...




Re-vivre la capture de la Vivre (45 images)








Tandis que le rideau tombe sur la vivre, lancée aux flammes, Monsieur Ponnelle cherche le bon angle...
Passez le curseur de la souris sur l'image pour découvrir la scène photographiée









Yoata mort, jeté dans les flammes...





Yoata mort, jeté dans les flammes avec la Vivre faramine,... voici déjà son fantôme...








 Godomar chante la mémoire de son ami Gauthier (la Vivre), tandis que danse le fantôme de Yoata...



Le fantôme du mage Yoata,... la flûte magique,... et, la dramaturgie scénique superbe,...
il n'en faut pas plus pour
incarner la légende de la Vivre !







La corde coupée, le mage Yoata a
finalement été sacrifié par Malvina...










Passez la souris sur l'image pour découvrir l'arme du crime...















      Godomar qui est la recherche de son ami Gauthier, pénètre dans le village et se dirige vers Malvina : "Où est Gauthier ? Réponds-moi Malvina ! O ù est mon ami ?" La magicienne se dirige vers le foyer : "Viens Godomar, regarde ! Ton ami n'est plus que poussière! Regarde ma vengeance, regarde mon pouvoir. Regardez tous ce que j'ai su faire. Il ne pouvait pas y avoir deux mages à Couches. Désormais je reste seule et mes pouvoirs sont infinis. Regardez ceux que vous craigniez, ils ne seront maintenant que souvenirs."

      Malvina semble être arrivée à ses fins, mais du fond des ténèbres une voix retentit : "Malvina ! Malvina ! Non tu ne rêves pas, c'est bien moi Yoata, même à l'état de cendres mon esprit est encore présent. Tu as appris auprès de moi la magie mais tu ne l'as utilisée qu'à des fins personnelles et indignes. Je me doutais que tu essayerais de m'éliminer et je t'ai réservé un de mes sorts. En touchant mes cendres tu t'es condamnée à venir rejoindre l'enfer de tous les sorciers maléfiques."







Et, ... pour conflit de pouvoir, magicienne Malvina qui sacrifie Yoata... n'aura de salut que dans la mort...












      
A ces mots, Malvina se sent défaillir et une vive douleur ne fait que grandir dans sa poitrine. Elle titube, tombe, se relève et s'effondre morte. On n'entend plus que le crépitement des dernières brindilles brûlant dans le four. L'incompréhension se lit sur les visages. Ont-ils fait une erreur ? Pourquoi n'ont-ils pas cherché à comprendre avant de juger et d'accuser ?"












Dans des éclairages, superbes, tamisés, pour restituer l'ambiance de peur,
les organisateurs déroulent la comédie musicale de main de maître...
Avec Michel Mussy et Marc Veyrard, n'y aurait-il pas
"magie de Yoata" pour tenir telle perfection ?

Regarder le poster













      
Le Chevalier Enguerrand de Valandray est le premier a reprendre la parole : "Gens de Couches, tous ces malheurs vous ont donné la possibilité de vous réunir. C'est la foi, le courage, l'intelligence, le savoir, la magie, l'espoir et l'amour qui vous ont donné la victoire. N'oublions pas que nous avons donné le nom de Vivre à ce symbole de nos peurs. Si nous avons mis la Vivre à mort, à notre tour de vivre et de sourire à la vie. Aussi, si ses évènements vont ont troublé, je vous propose que ce jour du 22 août 1328 reste gravé dans nos mémoires et que l'on ait la possibilité de commémorer notre victoire tous les vingt ans. Dorénavant, peuple de Couches la Vivre est à vous !"





La légende peut-elle alors re-"Vivre" ?





Enguerrand de Valandray
 :
"Dorénavant, peuple de Couches, la Vivre est à vous !"

Passez la souris sur l'image pour savoir si la légende peut re-"Vivre"...







Entre Légendes et
Histoires vraies...


"L'histoire est du vrai qui se déforme, la légende du faux qui s'incarne."


Quand les documents d'archives et les
légendes se mêlent pour construire
de belles histoires
à "Vivres"...



Sur les conseils avisés de Monsieur Mussy, nous avons fouillé
les archives historiques. Nous avons examiné les vieux livres.
Et, nous avons retrouvé un ouvrage tout à fait extraordinaire !



Le livre unique n'est rien d'autre
que le Grimoire de
Sapience...


Oui ! Yoata, mort, lancé dans les flammes par Malvina,... le sage
Sapience a consigné toute l'histoire... Nous avons retrouvé son
grimoire. Dans le livre de Sapience nous trouvons la véritable
description du dragon couchois, lequel, a

effectivement
décimé en 1328
les populations de la région
de Bourgogne....


Depuis cette lointaine époque, la légende raconte
que le livre légendaire de
Sapience serait
conservé au château de Couches.


L'entrée, du château, aujourd'hui
encore, est protégée
par deux gardes...




L'ouvrage légendaire de Sapience est aujourd'hui
secrètement conservé au Château de Couches
...




Passez la souris sur le Grimoire de Sapience...




Un paragraphe dans l'ouvrage de Sapience raconte qu'un preux chevalier
du nom d'Enguerrand de Valandray aurait défié Vivre faramine !

Avant d'utiliser finalement la
flûte magique et la musique de
Yoata, Sapience utilisa décoctions, infusions et poisons
végétaux de toutes sortes, sans succès...




La naissance d'une légende...



Passez la souris sur le vieux livre légendaire pour regarder l'histoire incarner la légende couchoise.


Animal chimérique qui se nourrit que de plantes vénéneuses, monstre né de
l'alliance d'espèces malsaines et souilleuses, la Vivre couchoise
est mentionnée dans les vieux livres légendaires...




Alors, d'après vous, finalement véracité
historique ou mythe légendaire ?
La preuve historique dans
le grimoire de Sapience.




La naissance d'une légende...


Passez la souris sur le livre légendaire de Sapience pour tourner la page...


      C'est la stricte vérité, la première représentation connue de la Vivre serait un dessin (1322-1324?) de Sapience... Et, des documents historiques, plus récents, attestent que la Vivre aurait été défiée plus tard dans l'histoire...

      Nous avons retrouvé
dans l'ouvrage de Sapience une note rédigée de la main du chevalier Enguerrand de Valandray. La note disait ceci :









 
     " Sur conseil de Sapience, derrière conduite de l'échevin, au son enchanteur de la flûte, Yoata conduit Vivre faramine... Ce jour, en couchois, Vivre est promenée... Partout la Terre en couchois doivent dire que le dragon est tenu pour finir au four. Cortège de chevaliers et d'archers, paysans de Couches en Duché, éleveurs, fermiers
de Couches en Royauté, tous armés, femmes, enfants et vieillards guident bête apocalyptique. Gueule ouverte à dévorer grasse vache, Vivre faramine laisse deviner le malin destin des populations sacrifiées. Mais, dorénavant, peuple de Couches, la Vivre est à vous ! "

" E.V. "






Regarder le livre


Page 1
      
Page 2







La comédie musicale
"Vivre à mort"

Michel MUSSY


Réalisations Eric GEIRNAERT


Reflet d'une histoire vraie face au temps, la Vivre de Couches
est une légende qui s'incarne de plus en plus
dans le collectif régional...





      La belle comédie musicale "Vivre à Mort" donnera son ultime représentation en août 2008...

      Réservez vos places, réglez vos appareils photographiques, préparez vos caméras... Le bouquet final se prépare...
Si seulement Monsieur Mussy pouvait nous accorder plusieurs représentations...

      La comédie musicale Vivre à Mort ? Nous n'avons pas aimé, non, nous avons adoré !







Monsieur Michel Mussy et les 42 figurants
de la comédie musicale "Vivre à Mort".







Réalisations Eric GEIRNAERT




Distribution des rôles dans l'ordre
d'apparition des chants :

Blanche : Amandine Lemaître
Baudoin : Marine Desnoix
Ermeline : Célia Douheret
Enguerrand de Valandray : Ronan Buisson-Denis
Marie de Beauffremont : Graziella Cortine
Marguerite de Bourgogne : Typhanie Luquet
Godomar : Eva Lebeault
Yoata : Jean-Albert Deron
Gauthier (la Vivre) : Manon Lartaud
Malvina : Solenne Lalonde
Père Anthèlme : Thomas Catanzaro



Intervenants en théâtre :

Arnaut : Camille Prieur
Sapience : Justine Cordelier
Dame Blandine : Manon Rebillard
Une femme : Charlotte Teixeira -Costa



Les danseurs :

Marie Duny, Angélique Gaulias, Angélique Queune, Elodie Araujo, Louise Collin,
Maeva Gelabale, Céline Goncalves, Adeline Grandjean, Amandine Maillard,
Claire Demazière, Claire-Lucie Manteaux, Kim Beddar, Audrey Demazière,
Cassandra Ducard, Manon Robardet, Alexandra Rousseau.



Les choristes et figurants :

Amaury Camus, Mathieu Drivot, Quentin Petit, Caroline Chavy, Loris Grossat,
Sofia Pace, Caroline Boyer, Elise Dupart, Elise Magnien, Marine Perret,
Camille Pocheron, Thibaut Renard-Muretta, Caroline Lachaux,
Mélanie Pillot, Benjamin Brouwers.





Chorégraphies :

Solange Cheloudiakoff










Regarder le poster











      Monsieur Michel Mussy est, en définitive, le responsable de toutes nos "peurs". Ainsi, la Vivre 2008 mangerait encore les enfants couchois ?! Ce n'est qu'une légende, mais, racontée par cette comédie musicale, le mythe, ainsi présenté, est bien plus que la mémoire collective. Quel beau spectacle ! De quoi passionner le public et nourrir les rêves, les craintes des petits et même des plus grands !

      Monsieur Mussy, bravo ! Chapeau bas ! Votre présentation de la Légende de la Vivre est éblouissante ! (Eric G.)







Si vous souhaitez récupérer les images en hautes
résolutions :
eric.ambre.jaune@hotmail.fr pour des éditions.


Durant la comédie musicale, au cours de l'entracte, d'aucuns
dans le public regardent les photographes…

...Souvenir d'un portrait.






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Photographies, Référencements Google : Eric Geirnaert
Contact : eric.ambre.jaune@hotmail.fr






Pour exploiter des photographies et/ou présenter votre sujet...
envoyez vos correspondances à l'adresse : eric.ambre.jaune@hotmail.fr